à Zébulon, à Pablo...
Sans Famille de S.Lorenzo©Cleia
Quémandeur de caresses ©CLEIA
Rencontre tendresse©CLEIA
Dominic et Moussipou, chats heureux ©Cleia
Dominic gardienne de l'Acqua Alta©Cleia
Dominic et Moussipou, chats heureux ©Cleia
Dominic gardienne de l'Acqua Alta©Cleia
Le chat, compagnon de toujours des Vénitiens, disparaît peu à peu de Venise.
Il fut chat de compagnie, chasseur de rongeurs embarqué sur les navires, protecteur combattant la peste. Il fut aimé et respecté pour les services rendus aux habitants de la lagune.
On peut en croiser encore quelques-uns au détour d'une calle ou à l'ombre d'un puits.
Craintif, il fuit à votre approche.
Curieux, il vous observe de loin.
Cajoleur, il quémande quelques tendres caresses avec maints frôlements et ronronnements.
Imperturbable, il interrompt à peine une sieste au soleil pour apercevoir l'importun d'un coup d'oeil rapide.
Enjouée ou maussade, exubérante ou timide, querelleuse ou paisible la nature des chats est multiple.
À Venise un matou ne laisse pas indifférent sans doute que chacun y reconnaît avec bonheur quelques traits de son propore chat.
texte et photos de Cleia
Un grand merci à Claudie
Grazie Danielle ; )
RépondreSupprimerCleia a le don avec les chats!
Les photos sont superbes!
Bonne journée,
Baci
C'est vrai j'en ai très peu vus !! Je ne les ai pas entendus miauler en italien!!!!!
RépondreSupprimerBon week-end avec le parfum du muguet
Ce fut une grande surprise de voir Venise vidée de ses chats et envahie par les goëlands ... J'ai appris que les Vénitiens souffraient maintenant d'une invasion de rats ! Entre trop et pas assez, il aurait fallu modérer ... Je regrette cette présence féline, si caractéristique. Les soins aux chats des rues ne devraient pas être hors de portée de Venise la touristique, non ?
RépondreSupprimerMerci, Danielle !
RépondreSupprimerJe suis triste d'apprendre que Venise a régulé la population des chats. A mon dernier séjour express l'année dernière, j'en avais photographié quelques-uns, mais peu par rapport à mes souvenirs, je pensais alors que c'était parce que je ne restais pas assez longtemps pour qu'ils daignent venir à ma rencontre... A ma première visite, il y a plus de trente ans, ils étaient légions, pour mon grand bonheur, il y en avait de toutes sortes qui trônaient comme des imperatore sur toutes les statues de la ville, il y avait, à San Pietro, toute une tribu qu'une vieille dame venait nourrir tous les jours, j'ai toute une série de photos argentique. Pour moi, ils faisaient partie de la cité, comme les vrais vénitiens ! Dis donc, le quémandeur de caresses, je l'emporterai volontiers dans mes bagages de retour, ça c'est sûr, s'il croise ma route en ce moment (on dirait un maine coon, ces géants roux si doux...) ! Bon week-end à toi et plein de câlins à Micio et à Tadzio !
Venise c'est impossible sans chat! la régulation me paraît toutefois indispensable...Le chat, ici fait partie des meubles! il est à l'image de cette ville ! toujours beau et mystérieux...
RépondreSupprimerTres reussie cette serie avec des chats. Un gros faible pour la premiere. Je me sens souvent assez proche des chats...on se regarde comme des betes curieuses :) Bises Danielle
RépondreSupprimerLa petite tête blanche sur cachée derrière le mur ressemble étrangement à Venetia sur la première image...
RépondreSupprimerTrès belles photos, très beau texte merci Cléia, merci Dani toujours douée pour le partage!La dernière photo de ce chat guetteur l'inscrit dans un passé lointain, on dirait la déesse égyptienne Bastet.
RépondreSupprimerBisous
Oohh mais je n'avais pas vu ces petites beautés ! Les photos sont superbes, regarde ces frimousses comme elles sont touchantes...
RépondreSupprimerTu veux dire qu'à Venezia il y a de moins en moins de Zuriani ? Naaan ! Ou alors laisse moi espérer qu'ils se prélassent tous sur les canapés des Venitiens !
Bisous et calinous à tes deux petits coeurs.
Nathanaëlle
AnnaLivia, Claudie m'a fait l'immense plaisir de m'envoyer "ses" chats vénitiens, elle savait que j'étais triste car je n'en avais vu que un ou deux pendant mon séjour, tous des noirs et blancs...
RépondreSupprimerbisous
Effectivement Martine, on voit de plus en plus de chiens par contre. Ce qui était rare, il y a trente ans en arrière...
RépondreSupprimerbisous
Gine, il y a quelques années maintenant que les chats se font plus rares à Venise. Je regrette cette époque où l'on pouvait les voir prendre le soleil sur un puits ou venir s'allonger près de soi sur le banc d'un campo ... Combien de fois lors de mes promenades dans des petits lieux tranquilles, je me suis retrouvée accompagnée par la présence d'un joli gatto qui me suivait pendant un moment.
RépondreSupprimerBon dimanche et joyeux 1er mai
Mon petit Colibri, il m'arrive aujourd'hui de revenir sans une seule image de chat et j'en suis triste. Je me souviens d'un joli rouquin qui prenait le soleil près de la Pescheria, le ventre offert à la chaleur des rayons de soleil. Je n' avais jamais vu un chat se tenir comme cela ! J'ai Micio aujourd'hui qui me montre tous les jours qu'un chat peut dormir les quatre fers en l'air !!! Le nombre de fenêtres, de lieux où nous pouvions apercevoir des petites cabanes offertes pour leur bien-être,et surtout leur liberté, nourris, câlinés par toutes les Mammas de Venise. Je me souviens que la galerie qui se trouve devant la Fenice avait sa maisonnette, lorsque tu regardais les oeuvres exposées, la première chose que tu faisais avant de regarder les cimaises, c'était de jeter un coup d'oeil pour voir si le suriàn était bien là ! Il y avait même des chats qui logeaient au pied du pont en bois de l'Arsenal (del Paradiso)et ils étaient bien nourris, il fallait voir la Mamma qui les nourrissait.
RépondreSupprimerHeureusement que je ne l'ai pas vu le Sior Quémandeur, il ressemble tellement à Micio, sauf la couleur, et puis ma besace était trop petite ...
Ton Zeb était avec moi.
bisous et câlinou à Chipie
Gwen, et pourtant c'est vrai ! Par contre beaucoup de chiens, ce qui était très rare il y a 30 ans...Je me souviens d'en avoir vu un ou deux...portant comme une petite cage autour du museau (pas une muselière). Eux aussi sont amusants, ils ont la "patte marine", souvent à la proue des barques, les oreilles au vent, ils savent prendre le vaporetto, toujours très dignes.
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec toi, le chat est comme le lion de Venise, on ne peut les dissocier de la Sérénessime.
Bonne journée
Mon petit Chic, ta préférence va vers les "sans famille" les plus libres... Tu sais que parfois certains sont adoptés par les gens du quartier, de la rue. J'avais fait un billet avec Paco, il porte un collier avec son nom et il est la vedette de la calle de la Rocheta !
RépondreSupprimerAh bon ! tu es une bête curieuse toi aussi ?
bisous, bon dimanche et j'espère que tu n'as pas oublié de prendre un petit porte-bonheur en passant ici !!!
Tu sais Numa, la petite noire et blanche, nommée Moussipou est super sympa. Elle était au premier étage quand je l'ai vue, elle a répondu à mon petit sifflement, elle est descendue grâce à la glycine qui s'accroche au balcon, et est venue recevoir mes caresses. Par contre pour retrouver sa maison, elle n'a pas fait l'escalade, il a fallu que je lui ouvre la porte, la coquine !
RépondreSupprimerUn gros câlin et bisous à Gabrielle
Marisol,c'est vrai c'est beau ce portrait en ombre, noire comme l'ébène et fine comme les chats égyptiens.
RépondreSupprimerBisous
Oui Nath, j'aime à penser comme toi que nos chers Suriàni se prélassent sur tous les coussins des demeures vénitiennes...J'ose espérer qu'il existe toujours l'entente secrète entre les Vénitiens et les chats ! Que ce "petit sans peur de rien!", intelligent, indépendant, robuste et courageux, aimant la liberté reste toujours l'ami de Venise.
RépondreSupprimerbisous