Je ne connaissais pas Venise, c'était la toute première fois et j'étais impatiente de la découvrir.
Mais toute seule, sans guide, sans repère, avec mes bons et mauvais choix, je me suis dirigée vers la première calle et le premier rio, j'ai découvert ce lieu.
Ce premier matin de novembre, très tôt, mes pas m'ont emmenée devant cette grille.
L'épais brouillard qui envahissait le rio et le jardin, rendait l'atmosphère étrange, irréelle.
J'avais entendu dire qu'à Venise, il n'y avait pas d'arbres, que des palais, des pierres et l'eau.
Balayées les images vues et revues dans les livres, et dans ce matin où un pâle soleil commençait à filtrer je l'ai vue, bien vivante et je l'ai aimée immédiatement.
Trente années plus tard, je suis toujours aussi emmerveillée par sa beauté, et chaque photo que j'aime partager, aura toujours une histoire, un peu la mienne, mais surtout la sienne !
Votre texte est à la fois nostalgique et enthousiaste. Vous décrivez très bien ce que nous ressentons comme vous devant la beauté éternelle de Venise. Merci, Danielle, pour cette belle publication.
RépondreSupprimerAnne
Merci pour ce partage, Danielle, auquel je suis très sensible, comme à la magie presque indicible que Venise sait si bien faire naître en chacun de ses inconditionnels. Ton texte paraît si "présent" trente ans après..., il me rend triste, je t'imagine perdue dans cette cité des songes, mais tout d'un coup, il m'égaie, car elle a su te trouver au milieu de sa brume... pour longtemps encore ! Bises.
RépondreSupprimerToujours ces jolies couleurs fortes qui donne uen autre image de Venise.
RépondreSupprimerEncore un joli texte ,c'est bien cela découvrir un lieu,le nez au vent, parfois on se fourvoie totalement et d'autre c'est le bonheur total,un cliché,une atmosphère et la magie opère et pour longtemps
Bonne journée
Voila quand on veut tout faire à grande allure on fait des fautes....
RépondreSupprimerJe te laisse les corriger!!!!!!
C'est vrai qu'il y a des arbres à Venise et que, peut-être, on ne les regarde pas assez.
RépondreSupprimerJe vais parler, demain ou dimanche de ma "première Venise" (en écho à Michelaise), il y a treize ans déjà...
Anne, effectivement Venise multiplie les sentiments, nostalgie, joie et passion. Mais elle inspire surtout, l'oeil d'abord pour sa beauté , la pensée pour les mots ...
RépondreSupprimerJ'aime bien partager mon petit Colibri, comme toi tu sais si bien le faire.Aucune nostalgie, que du bonheur, puisque on peut la retrouver belle, et différente à chaque fois, car elle nous réserve toujours des surprises !!!
RépondreSupprimerBises
D'accord avec toi Françoise, Paris, Venise, c'est la même chose, au bout de la promenade il y aura quelque chose, il suffit de regarder, une atmosphère ou une lumière particulière, et ce sera le moment à saisir !
RépondreSupprimerbises
J'ai hâte Norma de lire votre première fois ...
RépondreSupprimerOui il faut regarder partout à Venise, elle a rêvé aussi d'être "la campagne", elle n'est pas que ce grand poisson de pierres !