..."Un ciel éclatant projetait par là son reflet dans la cour.[...]
Dans ce petit espace mi-salle, mi -jardin, l'air était tiède, d'un parfum de raisin, et le silence si total qu'on entendait l'incessant sautillement de l'oiseau qui passait d'un bâton à l'autre."
Hugo Von Holmannsthal, Andreas
Très beau texte et magnifiques photos pour l'accompagner! Je suis toujours impressionnée de découvrir des rues calmes et désertes chez toi!
RépondreSupprimerTrès belle et agréable soirée
Dans le cercle du puits
RépondreSupprimersur l'eau obscure
une image rit....
Martine Cadieu (Suite Vénitienne)
Une porte verte, un puits, une cour intime, Venise nous appelle et la mélancolie monte du fond du puits jusqu'à notre gorge.
RépondreSupprimerMarisol
Merci Kenza, effectivement j'aime les rues paisibles et j'ai toujours recherché celles qui sont désertes, car ce qui m'intéresse c'est cette tranquillité où tu peux percevoir l'âme de Venise. Ces photos sont celles du dernier voyage de Marisol, elle est arrivée à fuir la foule du Carnaval pour notre grand bonheur !
RépondreSupprimerBonne soirée
Danielle
Une image rit...oui la tienne et près de ton puits aux jolies fleurs !
RépondreSupprimerBonne soirée Françoise
Danielle
Marisol, merci à toi pour ces belles photos, j'ai pu faire ce billet, et j'ai aimé te suivre dans cette ballade !
RépondreSupprimerbonne soirée
Danielle
Merci Danielle et Marisol :) Toujours aussi magique. On s'imagine facilement flâner dans ces rues étroites, un peu comme si à chaque coin de rue, on allait croiser les fantômes de la ville
RépondreSupprimerJe peux t'assurer que c'est la sensation que j'ai ressentie souvent quand il y avait du brouillard...tu entrevois des silhouettes qui disparaissent aussi vite qu'elles sont apparues !
RépondreSupprimerDanielle
Des petites cours comme je les aime! Je ne crois pas connaître celle de la Pergola... Une autre à chercher!
RépondreSupprimera presto!
AnnaLivia, ce n'est pas la Pergola (qui est une autre) c'est la calle della Pegola....
RépondreSupprimerLes "Pegoloti" ou "Calafai" étaient ceux qui calfeutraient les fissures des navires. Ils jouissaient d'un certain nombre de privilèges dont celui de ne pas être enrôlés dans la milice.