©VenetiaMicio
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Venise stimule au plus haut degré cette boulimie de créer, de ramener des images : tant et tant de peintres et de photographes, tant et tant d'écrivains et de poètes l'ont reproduite et décrite sans jamais l'user ni effacer son charme. Sortilèges d'une ville qui se renouvelle et réinjecte en elle des forces vitales inouïes, pour que l'oeil de l'artiste puisse s'y laver sans être alourdi de celui des autres peintres et des autres poètes ! Il faut pour cela acquérir la même humilité que celle de Venise. S'y rendre sans impudence ni esprit de conquête, mais en s'y imprégnant lentement en s'y coulant avec tendresse.
Alain Vircondelet-Venise ou l'innocence retrouvée.
Il y avait le rose de dimanche, il y a le vert entre deux maisons, aujourd'hui, je me "coule avec tendresse" dans tes pas avec bonheur...
RépondreSupprimerBonne soirée Danielle !
Joli texte ! Bien illustré, une fois encore. C'est peut-être bien la tendresse qui nous fait revenir ...
RépondreSupprimerElles sont presque pareilles et pourtant, allez savoir pourquoi la première me parle davantage...Joli texte, bien sûr qui dit si bien ce que nous ressentons sans pouvoir l'exprimer avec autant d'élégance.
RépondreSupprimerBonne semaine!
Bises
Danielle
C'est bien cette notion de tendresse qui décrit si parfaitement nos sentiments pour Venise...
RépondreSupprimerTout à l'heure, au repas, nous imaginions notre prochain voyage...
Bisous, Dany.
Norma
"Aucun indice,aucune nuance de l'immense chatoiement ne lui échappent ,et par certaines journées où la couleur est exquise il peut s'imaginer être au coeur du prisme merveilleux"
RépondreSupprimerHenry James
Je suis heureuse que ces moments de pur bonheur et de tendresse te conviennent Chère Martine.
RépondreSupprimerSurtout qu'à l'instant où la photo a été prise, un rayon de soleil perçait la brume qui persistait depuis le matin...il faudrait retourner à cet endroit au moment de la floraison des glycines, tout doit être si ravissant.
bisous
Je pense que c'est la tendresse qui nous attire là-haut, c'est certain, Gine
RépondreSupprimerBonne soirée à toi
Danielle, l'une a été la première prise de vue, puis ensuite le regard s'arrête sur les marches et la grille, alors on fait un zoom, et on prend le détail parce qu'il nous touche davantage et on se met à rêver. Et comme je le disais à Martine, une envie de printemps et de glycine, quand je suis allée en mai, c'était déjà passé le temps des belles fleurs mauves et violettes...
RépondreSupprimerbise
Norma j'aurais bien aimé être petite souris pour entendre ces futurs projets...j'y pense très fort aussi !
RépondreSupprimerbisous
Ma Françoise, je suis fan de toutes ces belles phrases que tu m'envoies. Venise est donc à ta portée d'yeux pour mon grand plaisir.
RépondreSupprimerJ'ai vu sur Autour du Puits que tu lis un livre en ce moment "Eaux lents sur Venise"...Dis-moi ?
bisous ma Belle
La boulimie de créer ! C'est tout à fait juste. On a envie d'ecrire, de peindre cette eau limpide, ces murs de sanguine... Et puis des photos de Venise, des livres, des ouvrages, plus on en a, plus on en voit, plus on en veut... simplement pour soi, pour le plaisir de les regarder... Celles ci sont de toute beauté, sereines, belles.. C'est Venise...
RépondreSupprimerMerci beaucoup
A presto ! Belle semaine
Nathanaëlle
Je suis tout à fait d'accord avec toi Nath, Venise s'offre et inspire à tout va ...la photo est le bien le plus précieux qu'on lui dérobe à chaque instant qui nous permet de la contempler inlassablement, la peinture, mais il faut pouvoir se l'offrir et puis les mots qui nous imprègnent à longueur de temps et envahissent notre mémoire...
RépondreSupprimerMerci pour tes gentils mots, une belle semaine passée à Paris avec de belles rencontres amicales et me revoilou
Danielle