mardi 15 janvier 2013

Venise effacée...

Un monde étouffé de gris et de brume. 
Même les bruits, enfoncés dans leur mollesse, ne sont plus que des souvenirs de bruits.
Liliana Magrini, Carnet vénitien






Le temps passe doucement sur le campiello de le Gorne, le rose des hauts murs de l'Arsenal nous faisait penser que la brume s'était dissipée un peu. Mais en poursuivant notre balade vers le pont del Paradisio, nous pouvons constater que le brouillard persiste, s'installe  et  s'épaissit encore !
Mais nous allons poursuivre notre promenade, un peu plus loin, le brouillard réserve toujours de très belles  et mystérieuses atmosphères ...

7 commentaires:

  1. c'est vrai, il y a du mystère.
    bisous Danielle
    Laurence

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  2. Magnifique ! Dans la brume, l'élégance de Venise est encore plus évidente, elle respire la noblesse dans ces teintes et halos feutrés. C'est sublime...
    Merci Danielle !
    Bisous

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  3. Laurence, quand le brouillard est très dense comme cela va se produire un peu plus tard cette même journée, il se produit parfois de très belles surprises...
    Bisous à toi

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  4. Nath, C'est vrai que Venise est très élégante dans ces tons là !
    Et ne parlons pas de son visage la nuit dans le brouillard, elle est toute dorée !
    Bisous à toi ma Bella

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  5. Un gommage tout en profondeur, Venise révèle, à mon sens, sa peau.

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  6. Entre la tourelle d'opérette si irréelle de l'Arsenal, ce pont tendu dans la brume comme un drap et ce vaporetto glissant dans le silence ourlé d'une arche nous voilà bien dans la Venise trouble et fascinante de nos rêves.
    Bisous.

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  7. Il y a tant de charmes dans Ces photos, chère Danielle!
    H. Flont

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