Et voilà que de nouveau, sous un air que décante le souffle salé d'un étincelant octobre et varie un papillonnement blanc de mouettes et d'eaux crispées, Venise, raclée à même ses pointes de sel et de pierre, lentement se resserre et se tend, pour répondre aux ciels vitreux et aux flasques opacités de la triste saison.
Liliana Magrini, Carnet Vénitien
Liliana Magrini, Carnet Vénitien
C'est bien là toute sa magie, être belle par tous les temps...
RépondreSupprimerBisous, Dany !
Norma
"Et pourtant pourtant je n'aime que toi..."
RépondreSupprimerCela te dis quelque chose?
Bonne soirée!
Le bateau donne une force extraordinaire à cette image.
RépondreSupprimerAnne
Et voui ! savoir faire encore un petit coin de paradis malgré les rides de la vieille Dame !
RépondreSupprimerbisous
Martine Aznavour ? mais moi je ne veux pas l'oublier et si je pars ce sera pour là-haut !
RépondreSupprimerbonne soirée à toi aussi
Anne,l'image d'une vie, il est là fringant, prêt pour une balade vers la lagune ...
RépondreSupprimerUn ciel terne, impossible, la photo lance sa flèche bateau d'un bleu éclatant, comme le souligne Anne et les mots de Liliana sculptent une matière blanche et transparente qui illumine Venise.
RépondreSupprimerBisous
Marisol, même avec un ciel terme je lui trouve du charme et justement les couleurs ont plus d'éclat, d'autant plus ce bleu...à ce moment précis. Le lieu est très modeste mais j'aime les petites terrasses et j'imagine les instants de bonheur de ces Vénitiens.
RépondreSupprimerbisous