Ces deux photos me plaisent infiniment, mais j'ai une préférence pour le jeune artiste de la deuxième: l'eau vénitienne lui sert de peinture et il a appliqué sa main sur les dalles sèches, exprimant déjà un premier autoportrait à travers ses propres traces. C'est très beau et émouvant. Merci à Catherine Hédouin pour ses photos prises avec tendresse. Anne
Vous avez raison ANNE cet enfant fait des essais main ouverte et main fermée et son attention est extrême, je n'avais pas remarqué ses empreintes. L'autre photo présente une petite chorégraphie sur banc au-dessus de l'eau, il y a ceux qui affrontent la rencontre hardiment et ceux qui s'immobilisent.Le contraste entre la luminosité des personnages et le flou embrumé des bâtiments est très beau. Merci Danielle pour cette belle évocation de Giono. Bonne soirée.
J'ai joué aussi sur ces planches en allant au Florian, il ne pleuvait pas c'était la marée haute qui arrive par en-dessous... Encore un beau souvenir que je vous racontrai bientôt Bonne soirée et merci à toutes les deux pour ces belles photos pleines de poésie!
Comme Anne j'aime la photo du jeune enfant découvrant la trace que laisse sa main...au programme pour mes petits le mois prochain, bonne soirée et merci à Catherine de nous offrir ses souvenirs.
Comme toi AnnaLivia, j'ai eu le coup de foudre pour toutes ces photos de Cath. Elle a su jouer avec tous les reflets et saisir harmonieusement des moments qui pourraient être désagréables parfois !
C'est vrai Anne que c'est touchant, d'autres enfants préféreraient sauter dans les flaques, lui avait envie de laisser son empreinte, comme font les acteurs hollywoodiens. Une oeuvre éphémère !
Bien vu Marisol un ballet incessant de piétons sur les planches. Cath est passée au bon moment, j'aime beaucoup le côté appliqué de chacun des passants.
Effectivement Françoise, vu de cette façon, et crois-moi, je n'aime pas trop. Surtout lorsqu'on se croise avec les parapluies, tu peux être sûre, qu'on les lève en même temps et là c'est un autre ballet ! Le pire c'est les ruelles les plus étroites...
Martine j'attends avec impatience la suite de ton histoire vénitienne. J'ai connu quelques épisodes de l'eau qui montait sur les bords des rii, juste de quoi rebrousser chemin pour éviter d'avoir les pieds mouillés, mais pas d'acqua-alta où l'on marche sur les planches...
©Catherine Hédouin
©Catherine Hédouin
J'aime beaucoup la première photo avec le reflet inversé des promeneurs. Jolie composition!
RépondreSupprimerBonne journée Danielle!
Bises
Très jolie composition pour la première photo, belle atmosphère et j'aime beaucoup aussi le jeune "Narcisse" qui découvre le jeu du miroir de l'eau..
RépondreSupprimerCes deux photos me plaisent infiniment, mais j'ai une préférence pour le jeune artiste de la deuxième: l'eau vénitienne lui sert de peinture et il a appliqué sa main sur les dalles sèches, exprimant déjà un premier autoportrait à travers ses propres traces. C'est très beau et émouvant. Merci à Catherine Hédouin pour ses photos prises avec tendresse.
RépondreSupprimerAnne
Vous avez raison ANNE cet enfant fait des essais main ouverte et main fermée et son attention est extrême, je n'avais pas remarqué ses empreintes. L'autre photo présente une petite chorégraphie sur banc au-dessus de l'eau, il y a ceux qui affrontent la rencontre hardiment et ceux qui s'immobilisent.Le contraste entre la luminosité des personnages et le flou embrumé des bâtiments est très beau.
RépondreSupprimerMerci Danielle pour cette belle évocation de Giono.
Bonne soirée.
C'est certain les photos de Catherine nous feraientt aimer la pluie à Venise ou ailleurs
RépondreSupprimerJ'ai joué aussi sur ces planches en allant au Florian, il ne pleuvait pas c'était la marée haute qui arrive par en-dessous... Encore un beau souvenir que je vous racontrai bientôt
RépondreSupprimerBonne soirée et merci à toutes les deux pour ces belles photos pleines de poésie!
Comme Anne j'aime la photo du jeune enfant découvrant la trace que laisse sa main...au programme pour mes petits le mois prochain, bonne soirée et merci à Catherine de nous offrir ses souvenirs.
RépondreSupprimerComme toi AnnaLivia, j'ai eu le coup de foudre pour toutes ces photos de Cath. Elle a su jouer avec tous les reflets et saisir harmonieusement des moments qui pourraient être désagréables parfois !
RépondreSupprimerDanielle, un nouvel artiste en herbe ! Dommage qu'il n'en restera aucune trace...
RépondreSupprimerC'est vrai Anne que c'est touchant, d'autres enfants préféreraient sauter dans les flaques, lui avait envie de laisser son empreinte, comme font les acteurs hollywoodiens. Une oeuvre éphémère !
RépondreSupprimerBien vu Marisol un ballet incessant de piétons sur les planches. Cath est passée au bon moment, j'aime beaucoup le côté appliqué de chacun des passants.
RépondreSupprimerEffectivement Françoise, vu de cette façon, et crois-moi, je n'aime pas trop. Surtout lorsqu'on se croise avec les parapluies, tu peux être sûre, qu'on les lève en même temps et là c'est un autre ballet ! Le pire c'est les ruelles les plus étroites...
RépondreSupprimerMartine j'attends avec impatience la suite de ton histoire vénitienne. J'ai connu quelques épisodes de l'eau qui montait sur les bords des rii, juste de quoi rebrousser chemin pour éviter d'avoir les pieds mouillés, mais pas d'acqua-alta où l'on marche sur les planches...
RépondreSupprimerEvelyne, j'ai un dessin à la peinture des petites mains de ma Tosca, un chef d'oeuvre pour moi !
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