©Catherine Hédouin
©Catherine Hédouin Il y a une promenade que j'aime faire à Venise,
c'est celle qui m'entraîne vers "la bouche du poisson",
de l'Anzolo Rafaele à S'Nicolo.
Venise devient village, port et campagne.
En longeant la Fondamenta Barbarigo, on peut découvrir
cet imposant et sinistre corridor, qui s'ouvre sur un merveilleux jardin.
Certes, je vous en mets plein la vue avec l'image ensoleillée de Catherine,
mais c'est pour vous faire oublier un peu l'hiver et les récentes acqua-alte.
Un peu de chaleur, d'allégresse, de couleurs, cela fait du bien,
surtout après mes billets de novembre
gris et mélancoliques...
Après un petit tour dans ce jardin luxuriant, je traverse le ponte de la Piova.
En face , je trouve ce petit chemin de traverse, au milieu de petites maisons simples, qui me permet de regagner le Campo de l'Anzolo Rafaele.
Je fais un petit clin d'oeil à Chic qui me dira si les graffitis vénitiens sont à son goût !
.
J'adooore la photo numéro deux. Quelle verdure luxuriante!
RépondreSupprimerBisous et très belle soirée
Tu vois, je pensais que la 1ère image avait été prise à la Giudecca, j'ai le souvenir d'une perspective semblable quand on quitte le quai...
RépondreSupprimerBisous, Danielle.
Norma
Un endroit que je n'ai pas encore exploré et bien...je note pour plus tard...ça fait du bien après les annonces météos de ce soir...
RépondreSupprimerBises
Danielle
Très étonnantes ces photos on ne se croit pas à Venise, comme Norma j'ai moi aussi songé à la Giudecca qui elle aussi est assez dépaysante. Le jardin est superbe,cette promenade est pleine de surprises.
RépondreSupprimerBisous.
"C'est toujours ainsi à Venise,tout ramène à l'essentiel,tout invite au retour sur ses origines.Les jardins restent la preuve d'un bonheur idéal d'un lieu clos resté intact et qu'aucune incursion étrangère n'a pu détruire....
RépondreSupprimerLes touristes d'ordinaire si bruyants y sont comme apaisés ,se sentent un peu chez eux.C'est cette étrange impression qui domine dans les jardins de Venise:cette paix intérieure qu'ils savent dégager"
Ces phrases de Vircondelet peuvent à mon avis s'appliquer à tous lieux ,où un jardin devient improbable,il prend alors une autre dimension,est sublimé.
Bonne journée
Kenza, un jardin qui pourrait se trouver ailleurs, mais qui en est un, parmi tant d'autres que la Bellissima nous dévoile de temps en temps !
RépondreSupprimerbisous
Norma, c'est vrai que la Giudecca nous réserve plus souvent ce genre d'images, mais Catherine a fait d'autres photos qu'on a du mal à imaginer dans Venise même !
RépondreSupprimerUne autre découverte...
bisous
Danielle, alors note c'est une très agréable promenade et on fait toujours d'agréables découvertes le long des rii de ce coin de Dorsoduro.
RépondreSupprimerbisous
Marisol, Pascal et toi, vous êtes allés dans le coin pendant le dernier carnaval, j'ai une de vos photos donnant sur le rio de S'Nicolo...Effectivement cet endroit est très dépaysant comme la Giudecca !
RépondreSupprimerbisous
Merci Françoise de m'avoir envoyé ces beaux mots de Vircondelet qui pourraient bien entendu s'accorder à nos petits passages parisiens ou cours dérobées... un jardin dans une ville nous apporte toujours beaucoup sérénité, cette paix intérieure.
RépondreSupprimerbisous