©Catherine HédouinDepuis toujours, que ce soit à Paris ou maintenant à Venise,
j'aime les autres "sulle apparenze" des lieux,
l'envers du décor, l'autre face cachée ...
Donc, je vais vous entraîner dans des endroits parfois si proches de la foule,
il vous suffit d'abandonner le flot humain et de vous glisser à droite ou à gauche,
dans une calle dérobée, de passer sous un ou deux sotoportegi, de traverser
un campiello et voilà : Ramo Rialto Vechio o Parangon*....
[*Parangon : certains draps de soie étaient appelés pour leur perfection del Paragone. On peut traduire sans doute par : incomparables. Toponymie vénitienne Claude Soret]
ces petits 'coins' sont d'une beauté simple et silencieuse..
RépondreSupprimerVenise est décidément un parangon de beauté...:-)
RépondreSupprimerUne photo figée dans un autre temps, presque un tableau, vraiment très belle...
RépondreSupprimerVenise, le parangon des rêves...
RépondreSupprimerAnne
Ca me va !! Bisous
RépondreSupprimerEt on peut en voir des endroits comme celui-là, si on veut s'en donner la peine ! Je te fais confiance, on te suit Danielle...
RépondreSupprimerElfi, beauté simple et d'une autre époque...toutes ces petites échoppes étaient ouvertes et la vie était là !
RépondreSupprimerDanielle, d'une incomparable beauté !
RépondreSupprimerNorma, lorsque tu me dis ces mots j'ai une réminiscence d'un coffret renfermant deux livres que j'avais offerts à Ange : Lost Florence qui renferme 120 reproductions de peintures de Favio Borbottoni sous forme de gravures. Certaines scènes de rues ressemblent beaucoup à celles de Venise par les couleurs, les sotoportegi etc...
RépondreSupprimerAnne un doux rêve incomparable aux autres...
RépondreSupprimerTu es passé quand même mon petit courant d'air, je suis contente que ce petit coin te convienne !
RépondreSupprimerFais de doux rêves et bisous
Sans problème effectivement Martine, des petits coins comme cela il y en a plein...Merci d'avoir confiance en nous (grâce à Catherine ma chère photographe qui touve toujours ce que je veux)...
RépondreSupprimerTu as raison Danielle les échoppes se replient derrière leurs volets clos mais il suffit de fermer les yeux et voilà des bras vigoureux qui les soulèvent et des mains délicates qui déplacent étoles de soies et chapeaux délicats, des couleurs éclatantes ravivent la rue et déjà de belles dames s'approchent et des enfants traversent la rue en jouant...
RépondreSupprimerBisous