Dans ce quartier, vous découvrirez le dynamisme de la ville, ses parfums et ses arômes vous retiendront prisonniers de son périmètre festif.
Ici, la journée commence à cinq heures du matin avec le marché ...
©Catherine Hédouin
©Catherine Hédouin
©Catherine Hédouin
©Catherine Hédouin
Une ville théâtre, une ville multipliée à l'infini par l'eau et la lumière, une ville intime et familière, une ville labyrinthe qui se masque de tristesse ou de joie à volonté, une ville dont le coeur bat au rythme des pas, une ville sortie du temps qui nous ancre dans le quotidien, une ville dont même les rides sont belles...Nous n'avons pas fini de parler d'elle !
Une ville théâtre, une ville multipliée à l'infini par l'eau et la lumière, une ville intime et familière, une ville labyrinthe qui se masque de tristesse ou de joie à volonté, une ville dont le coeur bat au rythme des pas, une ville sortie du temps qui nous ancre dans le quotidien, une ville dont même les rides sont belles...Nous n'avons pas fini de parler d'elle !
(un parmi les nombreux et gentils commentaires reçus, celui-là est de Marisol)
Encore une fois, textes et photos sont si bien accordés ! J'aime le goëland de la dernière photo. Sachant sa voracité, on pourrait l'imaginer dans une flaque de sang ... Dramatique Venise !
RépondreSupprimerle Rialto et on marché...voilà bien un regret tenace..la matinée du retour..ne pas pouvoir faire un "gros" marché...ramener chez soi fruits et légumes( et crustacés) et puis toutes ces autres belles et bonnes choses que l'on ne voit que là bas...faire mon marché de Noël au Rialto...un fantasme...qui me poursuit:-)
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup la mouette au reflet rouge, je te ferai un clin d'oeil lors de mon prochain mardi vénitien avec une photo que j'aime bien, également, du rouge Rialto !
RépondreSupprimerBises, Dany !
Norma
Tout est théâtre, même la Pescheria, mais, heureusement, le Provéditeur veille (allusion au goéland ainsi rebaptisé il y a quelques mois par Maïté du blog "Ma Venise", car il a souvent une attitude aussi solennelle que Proveditore vénitien)et tout se passera bien.
RépondreSupprimerAnne
Le rouge des magnifiques photos de Catherine nous ouvre les portes de ce théâtre à ciel ouvert qu'est Venise. Le goéland lui nous parle du passé maritime de cette cité sur fond de drame. Merci Danielle de m'associer à ce billet superbe.
RépondreSupprimerMerci Gine, je pense que en ce moment tu dois te trouver peut-être dans ce coin...et je te souhaite un temps radieux !
RépondreSupprimerà bientôt
Danielle
J'ai le même rêve que toi Danielle...rester assez longtemps, pour faire mes courses au marché du Rialto, ramener des fleurs et essayer de vivre Venise encore plus comme une Vénitienne !
RépondreSupprimerbisous
Norma j'ai longtemps associé le rouge à Venise, puis quand je l'ai connue comme maintenant j'ai vu qu'elle pouvait être tellement autrement, elle a des dizaines et dizaines de couleurs qui lui appartiennent...
RépondreSupprimerbisous
Anne, j'aime l'idée du Provéditeur qui veille sur la Pescaria, car il y a parfois d'autres visiteurs qui m'impressionnent beaucoup plus que ce goéland...
RépondreSupprimerbonne journée
Danielle
Le plus joli théâtre de la vie vénitienne lorsque le matin tu le traverses...et quand le soir venu il devient presque mystérieux avec ses bâches baissées où des ombres se faufilent et disparaissent rapidement !
RépondreSupprimerbisous