lundi 27 décembre 2010

EN ATTENDANT LA FÊTE...

©Catherine Hédouin
À Venise, les gens se déplacent comme sur une scène : avec une agitation qui ne les mène nulle part, ou leurs rêveries sans objet, ils passent leur temps à apparaître à un coin de rue et à disparaître immédiatement à un autre. Ce faisant, ils ressemblent toujours à des acteurs qui ne se tiendraient ni à droite ni à gauche de la scène. La pièce se déroule, qui n'a aucune raison d'être et aucun effet sur la réalité.
Georg Simmel.

10 commentaires:

  1. C'est celle que je préfère....:))

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  2. "La pièce se déroule, qui n'a aucune raison d'être et aucun effet sur la réalité": c'est justement ce qui la rend si émouvante et belle.
    Anne

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  3. Une jolie lumière qui illumine notre journée parisienne encore une fois bien grise
    Merci à vous deux

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  4. J'aime quand les sottoportegi deviennent des appareils photos géants.
    Très bonne journée.

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  5. Chic, Ah ! bon !
    Tu as bon goût, Cath va être contente, mais elle n'a pas fini de nous surprendre...il y en a d'autres.
    à plus tard sous le gui pour se faire la bise
    Danielle

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  6. Martine, certes il fallait se trouver là !
    Et effectivement elle a le coup d'oeil, ma fidèle complice.
    bisous

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  7. Anne, c'est ce que j'ai toujours aimé à Venise, ces instants qui nous touchent et que l'on ne voit nulle part ailleurs !
    à bientôt

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  8. Françoise, elle illumine ma journée aussi car le Sud est aux mêmes couleurs que Paris...
    bises

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  9. Pas mal ton idée d'appareils photos géants, il suffit seulement d'un petit quelque chose en plus pour faire le clic !
    Pour cette photo de Cath se fut un beau coup du hasard !
    bisous

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