À Venise, les gens se déplacent comme sur une scène : avec une agitation qui ne les mène nulle part, ou leurs rêveries sans objet, ils passent leur temps à apparaître à un coin de rue et à disparaître immédiatement à un autre. Ce faisant, ils ressemblent toujours à des acteurs qui ne se tiendraient ni à droite ni à gauche de la scène. La pièce se déroule, qui n'a aucune raison d'être et aucun effet sur la réalité.
Georg Simmel.
C'est celle que je préfère....:))
RépondreSupprimerBien vu !!!
RépondreSupprimer"La pièce se déroule, qui n'a aucune raison d'être et aucun effet sur la réalité": c'est justement ce qui la rend si émouvante et belle.
RépondreSupprimerAnne
Une jolie lumière qui illumine notre journée parisienne encore une fois bien grise
RépondreSupprimerMerci à vous deux
J'aime quand les sottoportegi deviennent des appareils photos géants.
RépondreSupprimerTrès bonne journée.
Chic, Ah ! bon !
RépondreSupprimerTu as bon goût, Cath va être contente, mais elle n'a pas fini de nous surprendre...il y en a d'autres.
à plus tard sous le gui pour se faire la bise
Danielle
Martine, certes il fallait se trouver là !
RépondreSupprimerEt effectivement elle a le coup d'oeil, ma fidèle complice.
bisous
Anne, c'est ce que j'ai toujours aimé à Venise, ces instants qui nous touchent et que l'on ne voit nulle part ailleurs !
RépondreSupprimerà bientôt
Françoise, elle illumine ma journée aussi car le Sud est aux mêmes couleurs que Paris...
RépondreSupprimerbises
Pas mal ton idée d'appareils photos géants, il suffit seulement d'un petit quelque chose en plus pour faire le clic !
RépondreSupprimerPour cette photo de Cath se fut un beau coup du hasard !
bisous