Les quartiers de Venise ont des allures d'éternels dimanches. Perçant la brume, le soleil s'infiltre dans les alvéoles poussiéreuses - paradis des araignées qu'anime le claquement d'ailes des pigeons - et ravive les couleurs des maisons [...] L'art des rues est discret...(Bernard Neau, Venise Miroir des Signes)
Je retrouve, à petits pas, mais avec bonheur, ma cour de récré préférée !
Merci à vous tous, pour les messages et les visites,
et surtout pour votre fidélité.
Une atmosphère onirique, mélancolique et poétique à la fois, due en grande partie à l'absence de tout personnage.
RépondreSupprimerJe ne m'attarde pas plus, j'ai un billet sur le feu !
Bisous, à bientôt
Of course we remain faithful when you treat us so well!
RépondreSupprimerYvonne
Superbe !
RépondreSupprimerBises.
Couleur et solitude ... c'est très beau.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup la première photo. Comme si le temps diluait la couleur, mais un pan de mur résiste. C'est un peu comme une fresque.
RépondreSupprimerC'est très beau, vraiment.
Je vous embrasse Danièle, que cette journée vous apporte plein de petits bonheurs.
Tilia, tout semble paisible effectivement mais à quelques pas de là tu retrouves la foule, bien entendu ! Il suffit d'emprunter une petite calle détournée du flot piétonnier et voilà tu as l'impression d'être un dimanche... juste deux pigeons amoureux pour te tenir compagnie !
RépondreSupprimerBisous à bientôt
Yvonne, it's very nice, grazie.
RépondreSupprimerI hope the next post will be like you love ...
At soon
Danielle
Merci Danielle, à bientôt
RépondreSupprimerBises
Gine, la fin d'une journée bien remplie, après avoir quitté le vaporetto me ramenant du Lido...
RépondreSupprimerretrouver la tranquillité des petites ruelles est toujours réconfortant, mes pas connaissent le chemin, j'aime cette solitude !
Chère Maia, il y avait autrefois dans le Dorsoduro, sur un campiello, une fresque aux belles couleurs pastelées qui recouvrait les murs lépreux d'une demeure. On pouvait voir ainsi les façades des maisons de le Zitelle de la Giudecca comme si nos regards traversaient les parois. C'était très beau ! malheureusement le temps a dilué effectivement ces souvenirs d'une autre époque où le peintre Roberto Ferruzzi les avait peints.
RépondreSupprimerDe douces pensées vers vous aussi
Je vous embrasse
Danielle