Vous connaissez mon affection pour les chats de Venise,
mais j'avoue aimer regarder le comportement des chiens vénitiens.
Celui-ci, digne et sage comme une image, semble observer l'horizon
dans l'attente de sa prochaine traversée vers la Giudecca ...
tu crois qu'il paie son billet?????:-))
RépondreSupprimerEso de enfrente es el molino Tucky,no?
RépondreSupprimerBesos
Lorsque mon mari prenait le train de banlieue pour se rendre à son travail, il a vu plusieurs fois un chien, tout seul comme un grand, monter dans le wagon où il se trouvait et puis descendre à la station suivante ! On a supposé que l'animal avait sans doute perdu le maître avec qui il avait l'habitude de faire ce trajet. Et une fois son maître disparu, le chien avait continué a utiliser le train pour se rendre d'un point à un autre de la ville. Comme quoi, certaines bêtes en ont dans le ciboulot ;-)
RépondreSupprimerBises et bon week-end
Ou il attend son maître !
RépondreSupprimercoucou Danielle !
RépondreSupprimerJe t'ai déjà raconté l'histoire de ce toutou habitant de San Marco, qui prenait chaque jour le traghetto pour aller passer l'après midi à Dorsoduro et dont le maitre aller payer les trajets chaque samedi. Il s'agissait d'un setter irlandais, et ce toutou, tout mignon me fait penser au toutou du traghetto :D
bisous
Nath.
J'aime beauocup ce billet, plein de vie et de tendresse !
RépondreSupprimerBisous, Dany !
Norma
Danielle, peut-être ! à moins qu'il fasse comme certain(e), il passe à l'as !!! Moi j'en connais !
RépondreSupprimerbisous
Juanjo, effectivement c'est le Molino Stucky et juste à côte Fortuny où j'allais ce jour-là pour visiter les jardins privés, une autre histoire !
RépondreSupprimerTilia, il y avait un chat qui prenait le traghetto à S'Sofia et chaque jour traversait pour aller faire un tour à la Pescheria, il avait ses adresses pour son petit-déjeuner, ensuite il reprenait le traghetto en sens inverse et passait le restant de la journée côté soleil à faire sa sieste près de la guérite des gondoliers !
RépondreSupprimerAutrefois il y avait une petite chienne, berger des Pyrénées, à côté de chez nous. Le matin elle accompagnait les enfants au car, puis elle rentrait chez elle. A cinq heures, elle avait un réveil dans la tête, elle partait en trottinant et elle attendait l'arrivée du car du soir !
Je repense à ton billet avec cette toile magnifique, le chien du berger, là aussi je connais une histoire que je te raconterai un jour !
bisous
Non Martine, son maître est sur le côté ... On voit que le chien a l'habitude car il n'est pas tenu en laisse !
RépondreSupprimerOui Nath j'aime beaucoup cette histoire !
RépondreSupprimerJe crois que je l'avais lue dans un de mes premiers beaux livres sur Venise, l'Art de Vivre à Venise.
bises
Je te reconnais là, ma Norma ! Nous parlons de la même chose.
RépondreSupprimerbisous
Dany
Que regarde ce chien, quelles sont ses pensées ? Si un jour nous sommes assez curieux pour nous intéresser au langage des chiens et en percer le secret ils pourraient bien nous surprendre.
RépondreSupprimerBisous.
Marisol, je pense qu'il connait bien ce moment et qu'il attend vraiment son bateau qui va venir juste accoster à cet endroit. Il se mettra de côté pour laisser descendre les passagers et à son tour il sautera sur la plateforme...
RépondreSupprimerBisous
Une bien belle photo, tendre et touchante
RépondreSupprimerEs-tu rentrée ? J'espère que Dandie & ses félinous se portent bien
Au plaisir de te lire
Chaleureusement
Rose
Merci Rose, les chiens aussi je les aime,et celui-là était vraiment sympa !
RépondreSupprimerMais oui,il y a un bon mois que je suis à la maison et le temps file, file !!!
La famille chats se porte bien
Bisous
Dany
Mignon, chien dangereux dangereux.
RépondreSupprimerA Venise ne voit pas les chiens. Et bien qu'il ne devrait pas voir.