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John Ward, Anglais et élégant, cravaté, chapeauté, parapluie etc...
Je l'ai rencontré plusieurs fois pendant mes ballades cette année-là. Ce jour, il était tellement absorbé qu'il ne s'est pas rendu compte qu'un pigeon avait "déféqué", j'aurais préféré dire l'autre mot, sur son aquarelle !
A chaque fois que nous nous rencontrions nous parlions un peu et j'ai apprécié sa gentillesse et sa courtoisie. Vous voyez il figure sur mon carnet de voyages.
Son aquarelle est fort bien commencée et sur grand format, qui plus est. John Ward a du telent. Merci beaucoup pour cette photo, Danielle.
RépondreSupprimerAnne
Quelle chance de connaître quelqu'un si gentil, et c'est aussi un peintre. Bien que le tableau n'est pas fini, je pense qu'il est beau. Vraiment sympa votre photo.
RépondreSupprimerFausto
J'aime toujours autant votre carnet Danielle! Voilà qui me rappelle que je n'ai toujours pas entâmé le mien...
RépondreSupprimera presto!
Ah ces pigeons vénitiens. Aucun respect pour le travail des artistes !
RépondreSupprimerJe découvre avec plaisir l'existence de tes carnets. L'univers des carnets de voyage m'a toujours fascinée. Ils fixent le temps qui passe et autorisent toutes sortes de techniques. Cette scène est pleine de poésie malgré l'intervention incongrue du pigeon.
RépondreSupprimerMarisol