Bien souvent le matin comme le soir, j'emprunte la calle del Campaniel pour rejoindre la Riva de l'Ogio ou revenir vers l'église S.Cassiano. Mais je n'avais pas, jusqu'à présent, pénétré dans toutes les petites ruelles qui la bordent. Nous nous trouvons ici, après avoir passé un sotoportego dans le ramo Ca'Miani, qui se trouve contre l'église. Je lui trouve des allures de Provence, mais nous sommes bien à Venise !
Comme c'est beau ces couleurs de sanguine et de curry, on ditait une oeuvre d'Art cette photo tant elle est jolie.
RépondreSupprimerLa Sérénissime cache bien des trésors...
Bisous Danielle et bon week-end
Calinous à tes petits et tout-petits chats.
c'est vrai on pourrait retrouver des couleurs du sud, et c'est bien Venise et ses rues secrètes. merci, bises Danielle, Laurence
RépondreSupprimerJe suis certaine que des petites ruelles aussi charmantes tu vas en débusquer plus d'une dans ce voyage qui court déjà dans ta tête l'emplissant d'un air de flûte enchanteur.
RépondreSupprimerBisous.
Nath, quand je pense que je suis passée des dizaines, que dis-je des centaines de fois dans cette ruelle, sans jamais me faufiler dans les petites impasses secrètes qui se trouvent à gauche et à droite. C'est en arrivant l'été dernier en fin d'après-midi que je suis allée flâner
RépondreSupprimeret que j'ai découvert plein de petits coins comme celui-là. Après je suis allée vers la Pescheria, il y avait une brocante, sympa comme arrivée !
Bisous et bon dimanche
Dany
Laurence, effectivement, nous ne pouvons nous tromper, car il y a les numéros des portes qui sont les signes distinctifs de Venise et c'est grâce à eux que l'on peut retrouver les lieux car bien souvent le nom des calli ne sont pas signalées, seul de quartier et le numéro : S.Polo, 1832-1847...
RépondreSupprimerBon dimanche
bisses
Marisol, j'aimerais tellement et c'est toujours avec espoir que je m'imagine mes prochaines visites.
RépondreSupprimerMais Venise est tellement surprenante que je ne fais pas trop de soucis !
Je t'embrasse
Dany