Un monde étouffé de gris et de brume.
Même les bruits, enfoncés dans leur mollesse, ne sont plus que des souvenirs de bruits.
Liliana Magrini, Carnet vénitien
Le temps passe doucement sur le campiello de le Gorne, le rose des hauts murs de l'Arsenal nous faisait penser que la brume s'était dissipée un peu. Mais en poursuivant notre balade vers le pont del Paradisio, nous pouvons constater que le brouillard persiste, s'installe et s'épaissit encore !
Mais nous allons poursuivre notre promenade, un peu plus loin, le brouillard réserve toujours de très belles et mystérieuses atmosphères ...
c'est vrai, il y a du mystère.
RépondreSupprimerbisous Danielle
Laurence
Magnifique ! Dans la brume, l'élégance de Venise est encore plus évidente, elle respire la noblesse dans ces teintes et halos feutrés. C'est sublime...
RépondreSupprimerMerci Danielle !
Bisous
Laurence, quand le brouillard est très dense comme cela va se produire un peu plus tard cette même journée, il se produit parfois de très belles surprises...
RépondreSupprimerBisous à toi
Nath, C'est vrai que Venise est très élégante dans ces tons là !
RépondreSupprimerEt ne parlons pas de son visage la nuit dans le brouillard, elle est toute dorée !
Bisous à toi ma Bella
Un gommage tout en profondeur, Venise révèle, à mon sens, sa peau.
RépondreSupprimerEntre la tourelle d'opérette si irréelle de l'Arsenal, ce pont tendu dans la brume comme un drap et ce vaporetto glissant dans le silence ourlé d'une arche nous voilà bien dans la Venise trouble et fascinante de nos rêves.
RépondreSupprimerBisous.
Il y a tant de charmes dans Ces photos, chère Danielle!
RépondreSupprimerH. Flont