Le ciel est d'une obscurité aussi opaque que l'eau. Dans les rues, dès sept heures du soir, les réverbères font de petites lueurs rondes qui ne répandent autour d'elles aucun reflet : d'une couleur chaude, et éparpillées à différentes hauteurs, ce sont, sur les rues vivantes, comme des petites lumières de crèche.
Liliana Magrini, Carnet vénitien
Malgré une journée entière passée dans le brouillard, je ne peux résister à cette nouvelle promenade avant le dîner dans les calli voisines de la Ca'Favretto et de la Ca'Pesaro...
Les photos de nuit ont un charme incroyable et celle-ci nous entraîne dans une Venise bien mystérieuse.
RépondreSupprimerBisous.
La première fois que je suis allée à Venise, c'était en hiver et il y avait un brouillard extrêmement épais. Je ne voyais strictement rien. J'aurais pu être n'importe où ailleurs. Deux jours après le brouillard s'est dissipé et la ville m'a "sauté" au visage! Ta très belle photo me rappelle ces merveilleux souvenirs.
RépondreSupprimerBisous Danielle.
Beaux halos des lampes, la magie de Venise opère toujours...
RépondreSupprimerBises, Dany !
Chère Danielle, quel plaisir de retrouver ton blog que je n'ai pas parcouru depuis quelques semaines et de faire ce voyage dans les captivantes brumes et les magnifiques tombées de nuir. C'est si beau!
RépondreSupprimerYour photos are just amazing. They take my breath!
RépondreSupprimerV