samedi 1 septembre 2012

Le Passage

Au Rialto, c'est la foule sempiternelle escaladant le pont, baragouinant toutes les langues de Babel et photographiant sans répit au point d'user imperceptiblement la vue....
[Marc Alyn, le piéton de Venise, Venezia Felice, p.45]







Ce matin je veux aller très tôt pour surprendre la lumière qui se glisse à peine dans le ramo dei Bombaseri...
Ce lieu qui devient noir de monde dès le matin et  jusqu'au soir. Il sert de passage de fuite à ceux qui veulent s'y engouffrer et les marches, de balcon  aux autres qui s'entassent  pour regarder le Grand Canal et le pont du Rialto.
Voilà, nous y sommes ! Excusez-moi je n'ai pas fait le ménage,  je vous offre l'ambiance telle quelle !
Mais avouez l'image n'est pas encore usée, le passage est à nous seuls.

BON WEEK-END À tous 

18 commentaires:

  1. L'appel irrésistible de la lumière... On ne peut qu'avancer vers elle. Très beau!

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  2. Je crois qu'à Venise, il faut être très matinal(e) !
    Très belle lumière !
    Bisous, Dany.

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  3. C'est un passage vers la lumière. Et la lumière attire toujours car, elle éclaire la beauté. Ici aussi c'est mieux le matin. Les rues sont à nous. Je suis contente grâce à Norma de vous avoir rencontré toi et Ange. Bisous et belle soirée à vous deux et la tribu provençale.

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  4. J'aime beaucoup la lumière intermédiaire qui offre des irisations et des couleurs subtiles et fondues à l'intérieur de ce passage. Et merci pour la citation poétique qui accompagne vos belles photos. Bon weekend!

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  5. Passage secret ? l'imagination décolle, la magie opère dans le petit matin.
    Bon dimanche, Danielle

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  6. Merci, Gine, je suis arrivée au bon moment, j'avais le "champ libre" pour mon image imaginée et ce fut vraiment un appel vers la lumière !

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  7. Norma, j'ai pu le constater avec bonheur cette fois-ci habituellement je ne suis pas aussi matinale !
    Et aussi se coucher tard !!!
    bisous

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  8. Mimi, Je sais que c'était le bon moment, plus tard à cause de plusieurs évènements de la journée je n'aurais pas fait attention au passage, mais je suis curieuse de le voir à d'autres moments, la nuit, en hiver, la pluie etc... Bien la prochaine fois ?
    Moi aussi j'étais ravie de vous rencontrer ton mari et toi, merci encore.
    Je t'embrasse
    Dany

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  9. Phil, heureusement et sans vouloir l'user encore, je retournerai pour voir le passage vers une autre lumière...Bon dimanche à toi caresses
    à Tiki et Liousha

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  10. Bonjour Anne, contente de vous retrouver. Merci pour la petite visite. Ce passage étroit et sombre est fait de hauts murs et l'arche qui les relie lui-même. La lumière vient du ciel, limpide ce matin-là, ce qui donne plus une image en ombre chinoise. Mais le reflet sur la bâche de la boutique permet d'entrevoir un peu le détail de la devanture.Le magasin n'était pas ouvert et aucune vitre pour donner la lumière voulue.
    bON DIMANCHE aNNE
    dANIELLE

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  11. Tilia, je ne peux pas te dire que celui-là est secret malheureusement, tout le monde peut le voir, il suffit d'un instant et la magie peut opérer
    ou pas !
    bisous et bon dimanche
    Danielle

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  12. Qu'elle étrangeté ce couple temps et espace ! Tu as saisi pour nous ce lieu dans un temps rare, celui de l'aube qui mêle solitude et silence, une ou deux heures plus tard et cet espace devient bouillonnant.
    Très bon dimanche.

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  13. J'ai voulu laisser un message sur ton autre blog, impossible d'entrer le code.
    Juste pour une petite visite amicale, j'espère que tout va bien.
    Je t'embrasse.
    Fine.

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  14. Se glisser dans le chas d'une aiguille aux petites heures, dans une semi-obscurité ! Y avez-vous, Danielle, croisé Casanova ?

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  15. Marisol, même là je n'ai pas été assez matinale !
    J'aimerai voir l'endroit quand il fait à peine jour, encore éclairé par
    quelques réverbères nocturnes.
    Bisous

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  16. Merci Fine pour ton petit signe amicale , d'être passée ici.
    Je ne comprends pas trop pour l'autre blog ?
    Bisous

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  17. Frédérique, voilà ce que j'aimerais
    me glisser (mais naturellement) dans
    ce lieu, juste avant les premières lueurs du jour (entre nuit et jour) !


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  18. Frédérique, j'ai oublié, à cette époque de l'année je ne rencontre plus Casanova ... mais je l'ai déjà vu !

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