Venise, comme New-York, est une ville en forme d'île, de bateau. L'une et l'autre allument en vous les sentiments les plus opposés : on ne peut que les adorer ou les haïr; s'y sentir écrasé ou enfin vibrer; s'y perdre avec terreur ou se retrouver soi-même. Ce sont des villes-révélateur. Elles dévoilent, dans le bien comme dans le mal, les vérités soigneusement cachées. Elles rendent visible l'image latente. Si vous partez à Venise déjà mal dans votre peau, vous vous y sentirez atrocement désespéré; Mais si vous y allez vif et joyeux, vous jouirez de tout comme jamais. (Elisabeth Vedrenne)
Comme elle a raison ! J'ai connu ces sentiments, même le mauvais côté de la médaille, à cause de moi-même, mais heureusement, Venise comme New-York se sont dévoilées dans la joie, et j'ai vibré pour elles deux, sans aucun doute, pour toujours.
Personnellement, je trouve que Venise vivifie. On s'y sent revivre après une année de labeur, on y retrouve son énergie, elle revitalise l'esprit et l'âme. C'est l'effet de sa beauté et de son rythme humain.
RépondreSupprimerAnne