lundi 17 février 2014

Près du campo SS.Zanipolo

     Venise paraît émerger toute fraîche dans une sorte de détente bleutée. Sur les murs, depuis des mois défaits, ou si ténus dans leur lisse transparence, les îlots de crépissage apparaissent aujourd'hui bien cernés, comme une plaie en train de se cicatriser. 
Liliana Magrini, carnet vénitien






3 commentaires:

  1. J'ai reconnu cette phrase de Liliana Magrini que j'avais "utilisée" en illustration de mon premier book...
    Je t'embrasse, Dany, très belle journée, le printemps semble s'installer chez nous...

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  2. Toute rénovée et bien pimpante! Joli texte, une fois encore bien choisi, pour accompagner cette balade!

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  3. Pas de "petit pêcheur", cette fois ;-)

    Par contre, j'adore cette figurine dorée se dressant sur le bord de la gondole, à l'instar de celle qui orne le capot des anciennes Rolls, et son reflet d'argent dans la paroi.

    Bisous ravis par tes images, Danielle

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