... La barque noire glissait sur l'eau, levant le voile dans son sillage. Elle était amarrée à ce bâton de bois. L'homme disparut dans le passage secret aux marches mouillées par les remous - dans Venise, à l'estime sur la carte, chacun à son gré s'occupe à trouver le rivage espéré.
J'entendais son pas décroître au loin. J'eus un instant le désir de le suivre, mais je dus renoncer à l'indécise intention de sa fuite...
[ texte inachevé de Pierre-Jean Buffy © Venise, Miroir des Signes, hors de l'espace nommé ]
Vague à l'âme © Marie Daynié - septembre 2011
Entre rêve et réalité © Marie Daynié - septembre 2011
Montée vers l'inconnu © Marie Daynié - septembre 2011
Acqua Alta, San Marco © Marie Daynié juin 2009
" Et, avec cette danseuse sur l'eau nimbée d'un flou on ne peut plus artistique, je vous fais, comme elle,
ma révérence..." Marie.
Marie Daynié, si vous voulez voir ou revoir ses magnifiques photos c'est ici
* Sur les traces d'une absence ...
Nous écrivons nos histoires et ne saurons jamais ce qui sera compris.
L'universel est atteint quand l'union des silences et des sons révèle
une évidente perception, sans qu'il soit besoin de chercher à comprendre.
Pierre-Jean Buffy © Venise, Miroirs des Signes
J'ai peur de comprendre...
RépondreSupprimerC'est un très émouvant billet Dany.
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas ce blog et je viens de passer un peu de temps dessus et j'y retournerai ce soir.
Comment peut-on réussir de si jolis clichés ?
Quel est la magie qui permet d'avoir cette étincelle de génie ?
Merci pour la découverte et pour cet hommage où l'on devine beaucoup d'émotion.
Bisous à tous les deux. Belle soiré
Moi aussi j'ai peur de comprendre, un malheur est si vite arrivé.
RépondreSupprimerTon éloge tout en retenue en dit juste assez « sans qu'il soit besoin de chercher à comprendre ».
Les photos de Marie Daynié sont une belle découverte pour moi et je partage ton émotion.
Affectueuses pensées
Tilia
Voilà une bien triste nouvelle. Je n'avais jamais rencontré Marie mais nous avions échangé quelques mots. Un bel hommage que tu lui rends Danielle.
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Un blog qui s'arrête... un hommage, moi aussi j'ai peur de comprendre. Je me suis longuement promenée dans l'univers de Marie et je m'en suis émerveillée. Une photographie limpide, précise, mais portant beaucoup d'émotions.
RépondreSupprimertrès beau et émouvant
RépondreSupprimerMoi aussi j'avais peur de comprendre bien que ton imparfait ait été trop clair. Tu lui rends un hommage émouvant et plein de retenue. Je m'associe à ta tristesse.
RépondreSupprimerAffectueusement.
Un bien bel hommage à celle qui était ton amie... et dont tu m'avais fait connaître le talent.
RépondreSupprimerJe t'embrasse, nous arrêtons nos blogs une quinzaine de jours, à très bientôt donc.
Danielle, bellissimo commiato. Purtroppo io, malgrado il mio errare "de qua e de la" non ho avuto mai modo di arrivare da Marie. Sono andato, attraverso il tuo lien, a vedere il suo sito e sono rimasto a bocca aperta solo vedendo la prima foto. Come ho già avuto modo di dire da Anna Livia e Danielle sarebbe bello che noi tutti, amanti di Venezia, ci ritrovassimo dall'altra parte dello specchio. Buon fine settimana, malgrado tutto.
RépondreSupprimerJe suis ému.
RépondreSupprimerOlivier
Un bel hommage à Marie, ces photos sont magnifiques ! Quel talent !
RépondreSupprimerBonne soirée Bises
La sérénissime est triste en ce mois d’octobre
RépondreSupprimerLes calli résonnent encore des pas de Marie, de son rire franc et généreux. San Giorgio se sent bien seul isolé au milieu du bacino.
Elle aimait Venise et Venise lui rendait la pareille en lui offrant un magnifique spectacle qu’elle savait si bien capter au travers de son objectif. Ses images témoignent de l’intérêt qu’elle portait à cette ville et de cette envie de partager ce plaisir avec nous. Cette passion qui nous unit crée parfois de solides amitiés, des petites flammes que rien ne peut éteindre.
Ciao Marie
Merci Danielle