La porte s'ouvre sur le canal San Boldo.
Un long rideau séchant à l'étage supérieur s'abandonne aux caprices du vent.
Insolente la brise matinale taquine le voilage qui, par instant, dissimule au regard le puits du campo au loin.
Le léger tissu blanc s'illumine, transpercé par un audacieux soleil de novembre.
Ses rayons creusent dans la pénombre de la porte d'eau une multitude de petits sillons striant l'air de divines lumières. (texte et photo © Cleia)
ApparitionDivine©Cleia2011
Comme me disait Cleia, il y a des moments bénis (clic) et là, est celui-là en fut un que nous avions partagé lors d'une balade matinale... Son attente l'a gratifiée par cet instant magique !
Joli point d'orgue à tes deux précédentes publications que je viens de découvrir grâce à tes liens.
RépondreSupprimerMerci, Danielle, pour ces merveilleux instants de pure poésie;
Bisous ravis
Les photos de Cléia et ses textes sont toujours très raffinés et pleins de poésie,très joli dialogue avec tes liens.
RépondreSupprimerBisous.
Tout simplement magnifique...
RépondreSupprimerBisous Danielle
C'est en effet d'une extraordinaire beauté : juste pour vous, un cadeau comme seule Venise sait en offrir. Merci de le partager!
RépondreSupprimerLe divin lave plus blanc...forcément...;-)) Bise Dany
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